"Impact profond: l'accès intégré aux alizés Atlantique du projet Sahara Wind" présenté au 2e Congrès international sur l'économie du désert à l'ENCG-Dakhla
Le déploiement progressif de la ligne HVDC du projet Sahara Wind soutiendra l’expansion des villes et l’agriculture du désert irriguée par des usines de dessalement à base d'énergie éolienne. Les technologies électrochimiques de pointe introduites par Sahara Wind sont en cours de tests dans le cadre de projets pilotes. Ainsi, les activités minières locales pourront à terme être transformées en industries valorisantes de production d’engrais et d’aciers plus efficaces, sans émissions de CO2. Par ailleurs, de récentes études de modèles climatiques estiment que les milliers d'éoliennes du projet Sahara Wind augmenteraient les frottements atmosphériques de surface ce qui affecterait la dynamique des alizés Atlantique. Cela pourrait entraîner jusqu’au doublement des précipitations dans le Sahel. A l’invitation de l'ENCG-Dakhla et la Région Oued Eddahab, l'impact socio-économique du projet Sahara Wind a été évalué lors du 2e Congrès international sur l'économie du désert, le 17-18 avril 2019.
Sahara Wind au Dialogue sur la Transition Energétique de Berlin 9-10 avril 2019
Le Dialogue sur la Transition Energétique de Berlin (BETD) a réuni 50 ministres et secrétaires d’État et plus de 2 000 invités de 100 pays. Les parties prenantes du secteur de l'énergie, de l'industrie, de la science et de la société civile ont partagés leurs idées et expériences sur une transition énergétique mondiale sûre, abordable et respectueuse de l'environnement. Soulignant l’importance d’une appropriation locale du processus de transition énergétique, Sahara Wind a rejoint le panel ouvert sur «La diversification de l’énergie et la technologie en tant que moteurs de la stabilité et de la paix» de la deuxième journée du #BETD2019.
Sahara Wind à la table ronde sur la stratégie économique du Maroc le 19 février 2019
L'Euromoney Morocco Conference a exploré les implications financières stratégiques du "pivot pour l’Afrique" du Maroc. Au cours de la première table ronde, Sahara Wind a présenté des éléments susceptibles de façonner l’avenir économique de la région. Décideurs, hommes d’affaires, financiers et investisseurs se sont montrés positifs à l’égard de ces opportunités alors que l'éducation, la formation et l'inclusion sociale ont été citées comme obstacles aux objectifs à l'horizon 2030 du Maroc. Marchés des capitaux, inclusion financière et numérisation doivent également s'accélérer afin de permettre à la croissance économique d’atteindre l’ensemble de la population. Le Maroc a néanmoins été félicité pour son énergie et son engagement en faveur d'un modèle de développement multilatéral, de leadership régional intégré et pour sa stabilité économique et politique qui le distingue dans la région.
L'accès à l'eau, l'énergie et la sécurité alimentaire du projet Sahara Wind présenté à l’Université Panthéon-Sorbonne le 07 février 2019
A l’invitation de l’Association des Etudiants de Droit de l’Energie à la Sorbonne, le projet Sahara Wind à été présenté à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Cette séance a permis d’ouvrir un débat sur les enjeux liés à la transition énergétique en Afrique du Nord et ses implications sur l’accès à l’eau et à l’électricité au niveau continental. La transformation durable des ressources de la région Saharienne et leur impact sur la sécurité alimentaire mondiale ont également été évalués.
Réunion d’experts KAS–REMENA les 15-17 et 19-21 Décembre 2018 à Rabat, Maroc
Sahara Wind modère les réunions d’experts KAS–REMENA sur le thème «Finance durable et économie verte: comment tacler changements climatiques et pénurie de ressources dans la région MENA» du 15 au 17 décembre à Rabat. Le dialogue entre acteurs régionaux est essentiel pour sécuriser des investissements privés durables. Ainsi, la finance verte doit répondre aux aspirations sociétales de la région MENA. Une seconde réunion d’experts sur « les opportunités et risques de l’économie numérique sur l’adaptation aux changements climatiques et la sécurité des ressources de la région MENA » a évalué les systèmes d'accès en ressources intégrés, plus intelligents. Celle-ci s’est tenue du 19 au 21 décembre. Dans les deux cas, Sahara Wind a lancé les débats des réunions au Sofitel Palais des roses.
Sahara Wind aux MEDays, 07-10 Novembre 2018
Organisé à Tanger sur le thème "À l’ère de la disruption : Bâtir de nouveaux paradigmes" MEDays a réuni plus de 150 intervenants et participants de plus de 50 pays. Sahara Wind à contribué à cette 11ème édition du Forum MEDays. Ainsi les panels "A l’ère de la disruption et de l’accélération digitale : est-ce la fin des stratégies ?" et " Pétrole, Gaz, Schistes et Renouvelables : Vers un Nouvel Ordre Energétique Mondial" ont été modérés par Khalid Benhamou, directeur du projet Sahara Wind.
Sahara Wind au #P4GSummit pour mettre en avant une solution évolutive, inclusive et plus efficace en ressources
Le Sommet P4G de Copenhague 2018 a réuni des chefs d'État et de gouvernement, des dirigeants d'organisations internationales, des entreprises, des universités et la société civile du monde entier pour former une puissante coalition autour d'objectifs de développement durable au travers de partenariats innovants. Inspiré par l’empreinte paléontologique et humaine des alizés, le projet Sahara Wind permet d’éliminer les émissions de carbone dans les filières de l’alimentation et l'agriculture, l'énergie, l'industrie et la mobilité tout en fournissant de l'eau dessalée à grande échelle. Des modèles climatiques récemment publiés suggèrent qu’en raison de sa taille, le projet Sahara Wind pourrait également doubler les précipitations dans le Sahel, grâce à ses effets de frottements de surface et à une réduction de l’albédo.
“Sahara Wind-HVDC project’s transition to clean energy, water and global food security” presenté à l’Atelier sur la “Mise en œuvre du Nexus eau-énergie-agriculture au Mashreq” à Beyrouth au Liban
Organisé les 24-26 Septembre 2018 par le Middle East Desalination Research Center (MEDRC), et la Fondation Konrad Adenauer, Regional Program Energy Security and Climate Change Middle East and North Africa (REMENA) sous l’auspice du Ministère de l’énergie et de l’eau du Liban cet atelier a analysé les liens entre les secteurs de l’eau, l’énergie et l’agriculture. Compte tenu des contraintes et fortes interdépendances de ces secteurs, l’édification des stratégies intégrées plus efficaces visant une utilisation durable de ces ressources ont été évoquées. Sur la base de politiques et gouvernances cohérentes en matière d’eau, le Nexus Eau-Énergie-Alimentation peut mettre d’importants investissements en levier dans la région du Mashreq.
Le projet Sahara Wind présenté au CIGRE2018 à Paris
Dévoilé lors de la 47ème session du Conseil International des Grands Réseaux Electriques CIGRE, le réseau de énergétique global vise à interconnecter les réseaux électriques entre régions et continents pour optimiser l'exploitation des ressources renouvelables. Dans ce contexte, l’accès intégré aux alizés de l’Atlantique Nord du projet Sahara Wind-HVDC a été présenté lors de l’atelier sur les Technologies pour un réseau énergétique Global TGEG’18. Organisé par l'Association Grands Projets 21, cet atelier a rassemblé experts et opérateurs du secteur pour évaluer les technologies actuelles et options possibles en vue du déploiement progressif d'un réseau énergétique mondial.
Le lien énergie, eau et sécurité alimentaire du projet Sahara Wind présenté au Congrès Mondial des Etudes sur le Moyen-Orient à Séville, en Espagne
Afin de sécuriser un accès à l'eau, le fondateur du projet Sahara Wind a installé la première éolienne d’Afrique du nord sur le littoral atlantique du Sahara en 1995. Essais sur le terrain, rapports et consultations régionales ont inspiré des décennies de politiques éoliennes. Celles-ci ont permis la mise en place de stratégies durables d’accès à l'eau. Stimulant agriculture et développement local, la ligne HVDC du projet Sahara Wind facilitera la transformation dé-carbonée de phosphates en fertilisants. En traitant 71% des réserves mondiales de Phosphates détenues par le Maroc, une source majeure d'émissions de gaz à effet de serre est atténuée. Co-généré par les énergies renouvelables dans la production d’acide phosphorique, l'hydrogène servant à la production d’ammoniac est également dé-carboné. Ces perspectives ont été présentées le 19 juillet au Panel Eau et Ressources du #WOCMES2018.
Sahara Wind à la conférence sur la «Vision de l'UE pour une économie moderne, propre et compétitive» à Bruxelles, les 10-11 juillet 2018
En mars 2018, les dirigeants européens ont demandé à la Commission européenne de présenter, dans un délai de 12 mois, «une proposition de stratégie pour la réduction à long terme des émissions de gaz à effet de serre de l'UE conformément à l'accord de Paris». En préparation de celle-ci, la Commission a organisé une consultation des parties prenantes pour débattre d’une stratégie de l'UE de réduction des émissions de gaz à effet de serre au milieu du siècle. Organisée à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) par Miguel Arias Cañete, Commissaire à l'Action Climatique et à l'Energie, cette réunion sur invitation a réuni les parties prenantes de l’industrie, de la recherche et de la société civile pour définir une stratégie à long terme de réduction des émissions de gaz a effet de serre de l'Union Européenne.
Sahara Wind modère la conférence sur l'adhésion du Maroc à la CEDEAO du 15 mai 2018 à Accra, au Ghana.
Le principe d'adhésion du Maroc à la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) en tant que membre à part entière a été approuvé par les chefs d'États de la communauté en juin 2017; cependant une absence de débat a été remarquée aussi bien au Maroc qu’au sein des pays de la CEDEAO. Afin de renforcer la confiance entre gouvernements, sociétés civiles et milieux d'affaires, une conférence sur le thème: «L'adhésion du Maroc à la CEDEAO: vers un renforcement de la communauté ouest-africaine» s'est tenue à l'hôtel Ambassador Mövenpick à Accra. Organisée par l'Institut Amadeus en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le think tank ghanéen IMANI Africa, cet évènement à ouvert un débat sur la manière de mettre en œuvre le processus d'adhésion du Maroc sans perturber la synergie intégrative ouest-africaine. Tenue sous la «règle de Chatham House» les délégations marocaines, ghanéennes et ouest-africaines ont explorés les moyens de renforcer cette communauté régionale exemplaire dans une approche «gagnant-gagnant».